Le Bouvreuil pivoine

Le bouvreuil pivoine est un petit passereau que l’on peut observer surtout l’hiver puisqu’il vient profiter de nos mangeoires, bien que se posant rarement au sol.

Il est de la famille des Fringillidés, comme le Chardonneret élégant. C’est un oiseau forestier sans préférence pour les forêts de feuillus ou de conifères.

Le mâle adulte arbore une grande calotte noire qui se poursuit par du rouge rosé qui recouvre les joues, le poitrail et le début des ailes. Ces dernières sont grises puis noires et barrées de blanc, de même pour le croupion. La femelle est plus pâle au niveau du poitrail d’un beige-rosé. Ce petit passereau fait une taille moyenne de 16 cm pour 28 cm d’envergure.

Son bec court et conique lui permet de consommer des graines, sa principale source de nourriture, bien qu’il apprécie des bourgeons et baies à la belle saison. Il peut consommer des chenilles et autres insectes à l’état juvénile.

La parade nuptiale est l’occasion pour le mâle de mettre en valeur ses belles couleurs. Une fois formé, le couple, monogame est mené par la femelle, dominante.

Le mâle a la tâche de construire le nid dans les buissons à basse hauteur, 2 m environ, où s’installera la femelle qui y pondra de 4 à 6 œufs. Elle assure la couvaison, nourrie par le mâle. Les œufs sont bleus mouchetés.

Oiseau calme et timide, le bouvreuil est un oiseau, appréciant les climats froids, qui risque de disparaître en raison du réchauffement climatique.

Les oiseaux

Le bouvreuil pivoine est un petit passereau que l’on peut observer surtout l’hiver puisqu’il vient profiter de nos mangeoires, bien que se posant rarement au sol.

Il est de la famille des Fringillidés, comme le Chardonneret élégantC’est un oiseau forestier sans préférence pour les forêts de feuillus ou de conifères.

Le mâle adulte arbore une grande calotte noire qui se poursuit par du rouge rosé qui recouvre les joues, le poitrail et le début des ailes. Ces dernières sont grises puis noires et barrées de blanc, de même pour le croupion. La femelle est plus pâle au niveau du poitrail d’un beige-rosé. Ce petit passereau fait une taille moyenne de 16 cm pour 28 cm d’envergure.

Son bec court et conique lui permet de consommer des graines, sa principale source de nourriture, bien qu’il apprécie des bourgeons et baies à la belle saison. Il peut consommer des chenilles et autres insectes à l’état juvénile.

La parade nuptiale est l’occasion pour le mâle de mettre en valeur ses belles couleurs. Une fois formé, le couple, monogame est mené par la femelle, dominante.

Le mâle a la tâche de construire le nid dans les buissons à basse hauteur, 2 m environ, où s’installera la femelle qui y pondra de 4 à 6 œufs. Elle assure la couvaison, nourrie par le mâle. Les œufs sont bleus mouchetés.

Oiseau calme et timide, le bouvreuil est un oiseau, appréciant les climats froids, qui risque de disparaître en raison du réchauffement climatique.

Petit oiseau de proie particulièrement agile, le faucon crécerelle Falco tinnunculus est un oiseau diurne commun en ville comme à la campagne.

Il est surtout reconnaissable à son vol stationnaire dit « vol du Saint-Esprit » qui lui permet d’être à l’affût de ses proies sans avoir à se poser sur un arbre ou un point en hauteur.

D’une taille comprise entre 30 et 40 cm pour une envergure de 65 à 82 cm, mâle et femelle présentent des différences d’apparence. Le mâle est un peu plus petit que la femelle. Il arbore un plumage assez contrasté ainsi qu’un casque gris. La femme présente un plumage brun moucheté de teintes plus foncées, qui la fait ressembler au juvénile. Les deux présentent du noir en bout de queue.

Son nom tient de son cri caractéristique « ki-ki-ki » pour lequel on dit qu’il « réclame ». Il est plutôt discret sauf quand un autre rapace vient à traverser son territoire ou en période de reproduction où le mâle attire la femelle. Le couple formé est monogame et rupestre. C’est la raison pour laquelle, à défaut de falaise, il ira nicher dans des vieux bâtiments. L’espèce ne construit pas de nid et la couvaison a lieu à même le support par la femelle durant une trentaine de jours. Les 2 à 6 œufs pondus sont colorés de brun-roux.

Migrateur dans d’autres régions de son aire de répartition, le faucon crécerelle est sédentaire en France, d’où la possibilité d’observer le couple présent à Versailles.

Bien que commune, l’espèce est une victime indirecte de l’usage des produits chimiques qui empoisonnent ses proies et la prive de nourriture. Parions que la gestion en zéro-phyto menée à Versailles depuis de nombreuses années, en fait donc un lieu d’accueil propice au faucon crécerelle. Le couple, nichant dans une des fenêtres de la mairie, a accueilli cette année un petit.

Passereau de la famille des Fringillidés - comme les pinsons - dont le chant n’est donc pas sans rappeler ces lointains cousins, le chardonneret élégant Carduelis carduelis est un peu plus petit que le moineau.

L’arrière de la tête est noir et l’avant arbore un masque rouge vif, séparés d’une bande blanche. Le corps est marron clair et blanc et les ailes composées de noir et de jaune.

En voilà un qui porte bien son nom tant par son aspect que son chant !

Le dimorphisme sexuel est subtil : le masque rouge du mâle lui englobe complètement les yeux, à contrario de la femelle dont les yeux sont entourés à moitié de rouge et de blanc.

Sédentaire, il est d’un naturel grégaire sauf en période de reproduction où les couples se répartissent sur le territoire. Ainsi, et malgré la possibilité que des couples s’installent à proximité, le mâle peut se montrer particulièrement agressif.

Une fois séduite par le mâle qui se livre à une véritable parade nuptiale dès la fin de l’hiver, la femelle construit le nid soigneusement composé de branchages, feuilles, mousses et lichens puis couve les 4 à 5 œufs bleus pâles mouchetés de brun, tout en étant nourrie par le mâle. Deux couvées voire trois peuvent se succéder.

A majorité granivore grâce à son bac fin et puissant, le chardonneret recherche des insectes pour nourrir ses petits.

C’est un oiseau qui apprécie particulièrement se baigner, une bonne raison de lui laisser une coupelle d’eau changée régulièrement (notamment en été pour éviter la pullulation de moustiques).

Passereau de très petite taille (l’un des plus petits d’Europe !), assez discret, le troglodyte mignon Troglodytes troglodytes est très facilement reconnaissable.

Mâle comme femelle sont identiques : d’aspect arrondi avec une courte queue souvent relevée. La couleur du plumage est brune, mouchetée de teintes plus claires sur les ailes et le poitrail. Tous deux présentent des sourcils beige clair.

Appréciant la protection offerte par la densité du feuillage, son nom tient de son lieu de nichée, toujours à proximité d’un mur, d’une paroi ou d’un tas de bois.

Insectivore toute l’année, il ne rechigne pas à consommer des baies et des graines à la belle saison. Les spécimens habitant à proximité d’un plan d’eau, comme c’est sûrement le cas de celui rencontré au parc Balbi, peuvent également enrichir leur régime alimentaire de petits poissons, grenouilles ou têtards.

Malgré un poids moyen de 8g à taille adulte, le troglodyte mâle possède un chant particulièrement puissant qui fait qu’on l’entend plus qu’on ne le voit. Ce chant lui permet notamment d’attirer les femelles lors de la période de reproduction. C’est d’ailleurs cette dernière qui fera le choix du nid parmi les 3-4 construits par le mâle. De 2 à 3 nichées verront le jour chaque année pour la femelle ; elles seront plus nombreuses pour le mâle, étant polygame.

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